Manuel Ruiz Vida, peintures / pinturas

Actualités: expositions- site internet: documentsdartistes Paca

3 Août 2015 , Rédigé par Manuel Ruiz Vida Publié dans #Peintures récentes (sélection), #Actualités

Exposition Manuel Ruiz Vida Les effacements du monde - galerie Depardieu, Nice. Du 04 avril au 04 mai 2019.
Exposition Manuel Ruiz Vida Les effacements du monde - galerie Depardieu, Nice. Du 04 avril au 04 mai 2019.

Exposition Manuel Ruiz Vida Les effacements du monde - galerie Depardieu, Nice. Du 04 avril au 04 mai 2019.

Exposition HYBRID'ART salon d'art contemporain Port de Bouc, dans le cadre du Printemps de l'Art Contemporain Marseille expos.

Exposition HYBRID'ART salon d'art contemporain Port de Bouc, dans le cadre du Printemps de l'Art Contemporain Marseille expos.

Actualités: expositions- site internet: documentsdartistes Paca

Alep, 2017 Pigment et poussière sur toile marouflée sur bois 61 x 74 cm

La peinture de Manuel Ruiz Vida est liée au monde du travail, plus précisément à l'industrie et à la culture ouvrière. Ses toiles s'attachent souvent aux outils de production les plus simples : récipients en tout genre, bassines, bétonnières, containers… Ceux qu’il utilise aussi dans son atelier. Ces objets sont isolés sur la toile, ils deviennent alors l'unique sujet d'une peinture jouant sur la matière. Il y a quelque-chose de « terrien » dans cette production, une sensibilité comme une forme d'engagement politique. C'est la texture d'un monde âpre qui nous est donné à voir, un territoire laissé à l'abandon, qui peu à peu disparaît. Dans cette peinture, il est alors question de la limite, du passage, de la rétention, du souvenir ... et c'est donc avec une certaine forme d'évidence, qu'elle s'attache également à des actualités tragiques faites d'exil ou de guerre. Les marques du temps et les empreintes indélébiles de l’homme sur son environnement traversent aussi ses toiles. On pourrait dire que Manuel Ruiz Vida fait une peinture d'histoire, paradoxalement à travers la matière de ses œuvres, il présente les traces d’un univers qui s’évanouit.  Documentsdartistes PACA,2017.                                                                                                                                                                 

 Exils N° 2, 2017 Pigment et poussière sur toile 24 x 30 cm

 

 Exils, 2017 Pigment et poussière sur toile 24 x 30 cm                                                                                                                                                                                                                                

Exposition au théâtre La Chaudronnerie- La Ciotat, du 12 avril au 20 juin 2018.
Exposition au théâtre La Chaudronnerie- La Ciotat, du 12 avril au 20 juin 2018.

Exposition au théâtre La Chaudronnerie- La Ciotat, du 12 avril au 20 juin 2018.

Exposition personnelle "Les effacements du monde". Passage de l'Art hors les murs, Marseille.
Exposition personnelle "Les effacements du monde". Passage de l'Art hors les murs, Marseille.

Exposition personnelle "Les effacements du monde". Passage de l'Art hors les murs, Marseille.

Manuel Ruiz Vida, artiste contemporain, affirme par son traitement du réel la survivance de la peinture comme transcription d'un regard aiguisé sur le monde. Le traitement de l'espace par l'utilisation de l'aplat coloré est une caractéristique de son univers pictural. L'efficacité de sa peinture provient de sa réussite à créer une atmosphère en évitant tout naturalisme narratif. Le temps suspendu ou un environnement fermé et silencieux sont efficacement suggérés grâce à une composition cohérente et juste. Il offre par là même une leçon des procédés de création de la peinture. Manuel Ruiz Vida ne dévoile que certains indices d'une action accomplie ou à venir. Les regardeurs se trouvent face à des objets du quotidien dont ils ont à imaginer l'histoire. La figure humaine a disparu de ses tableaux tant elle ne saurait comment se tenir dans un espace rendu inhospitalier par le point de vue frontal et l'absence d'horizon. Elle ne subsiste parfois qu’à travers ses ombres portées habitées par des mouvements tiraillés. Car le regard se heurte souvent à des murs, des palissades ou des portes qui sont les motifs récurrents de son esthétique urbaine. L’artiste dépeint l'omniprésence des surfaces claquemurantes. Il semble moins rechercher à susciter l'intérêt pour ce qui est voilé qu'à attirer l'attention sur le sens de ces écrans d'aplats colorés. Au contraire de la glorification, de la technicité, et de l’utilitarisme des environnements urbains, Manuel Ruiz Vida démontre la désertification de la présence humaine et la déshumanisation des espaces.

Lisa Leandri, Marseille 2018

Exposition personnelle "L'impermanence et la fuite" Galerie Depardieu, Nice. Du 29 juin au 29 juillet 2017. Du lundi au samedi de 13h30 à 18h30. Peintures récentes.

Loin des codes du brillant, de la couleur vive, des formes abouties et des matières lisses, Manuel Ruiz Vida développe un art de peindre singulier, intimiste et sensible.Sa matière est épaisse, chargée de poussières, de couleurs froides et plutôt sombres. Il ne la crée pas tout à fait, il laisse agir les poussières qu’il génère par ses travaux, par celles qui traversent son atelier. C’est une matière au travail, asséchée, dépigmentée, vieillissante mais qui possède sa propre vibration. Il utilise aussi des vieilles palissades rongées par le temps et les activités humaines, mais les propose dans le sens horizontal, l’entre-deux planches comme autant de lignes d’horizon. D’autres vieux bois ou des toiles fatiguées semblent être ses supports favoris. Sur ces matières usées, il peint des formes en utilisant les aspérités, les textures, les contours, comme dans les peintures rupestres. Ses sujets sont frontaux, fermant la perspective. Ils sont abstraits même si on peut reconnaître des formes : contenants usagés, cuves, poubelles, etc. Il n’y a presque rien à voir : de vieux bâtiments abandonnés depuis longtemps, bordant des rues vides et sales, des conteneurs rouillés, des puits, résidus industriels.C’est le travail du temps sur la matière à moins que ce soit celui de la matière sur le temps...

                           A.A    PerformArts, pour l'exposition à la galerie Depardieu, Nice- juillet 2017

 

Les éditions Campredon Centre d'art ont publié l'ouvrage "Manuel Ruiz Vida, le temps de la peinture". Un catalogue de 80 pages. A l'occasion d'une exposition personnelle qui s'est tenue au Musée Campredon centre d'art du 12 mars au 19 juin 2016.

Préface et texte: Véronique Baton, commissaire d'exposition. Entretien avec Véronique Baton. Auteurs des autres textes: Anne Giraud et Laurence Boitel.

Un catalogue qui a été édité avec le soutien du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône.

Conception graphique: Annie Demongeot et Véronique Baton.

Communiqué de presse

Manuel Ruiz Vida Le temps de la peinture

12 mars – 19 juin 2016

Campredon-Centre d’art à l’Isle-sur-la-Sorgue propose, du 12 mars au 19 juin 2016, une immersion dans l’œuvre du peintre Manuel Ruiz Vida qui développe depuis une quinzaine d’années une œuvre personnelle et étonnamment puissante, à mi-chemin entre abstraction et figuration. En s'imprégnant du monde qui l‘entoure, l’artiste revisite avec énergie quelques genres classiques de la peinture comme le paysage et la nature morte ainsi que les fondements techniques de ce médium, de la composition à la matière picturale, de la couleur à la lumière.

Profondément ancrée dans la culture de sa terre natale, le nord de la France, l’œuvre de Manuel Ruiz Vida reflète également ses origines espagnoles dont il conserve une forme de tragique et un penchant pour la matière picturale sombre et dense. Manuel Ruiz Vida est un peintre « matiériste ». Fasciné par l’usure des matières, les traces déposées par le temps et les architectures abandonnées qu’il représente sur de grands formats et en plan serrés, il travaille par séries thématiques sur lesquelles il revient année après année. Si ses œuvres révèlent de prime abord la mémoire d’un monde industriel en cours de disparition, elles interrogent aussi et surtout les moyens et les fins de la peinture dans une exploration incessante du motif, de la forme et des ressources de la couleur afin de se confronter à la peinture, à son essence même. Fondement de sa pratique, la matière en est également la poétique. Elle permet de rendre compte du temps, le temps qui passe et qui érode comme celui de l’acte de peindre.

L’exposition présentera une importante sélection d’œuvres de la fin des années 90 à nos jours, éclairant le cheminement pictural de l’artiste à la fois dans sa chronologie, dans sa partition thématique et dans sa poétique. Plus de 80 peintures et dessins seront réunis et investiront tous les espaces du musée. Le parcours se développera autour des grandes séries - « Structures », « Hangars », « Sculptures », « Gazomètres », « Passages », « récipients » - avec, en contrepoint, une sélection de petits formats réalisés sur des supports d’atelier.

Les visiteurs pourront également découvrir les récentes expérimentations menées par Manuel Ruiz Vida depuis son installation à Marseille en 2013, ainsi qu’une peinture monumentale et inédite de la Chapelle des Pénitents Bleus de l’Isle sur-la-Sorgue, peinte spécialement pour l’exposition.

Véronique Baton, commissaire de l'exposition.

Article dans L'oeil n° 691, juin 2016.

Article dans L'oeil n° 691, juin 2016.

Au centre d’art de Campredon où sont exposées  ses œuvres, Manuel Ruiz Vida, artiste français d’origine espagnole, parle volontiers de son travail, mimant par instant le geste de recouvrir avec le pinceau la matière, comme si la surface de la toile le demandait. Au premier coup d’œil, son œuvre peut paraître froide, hermétique, mais, en l’observant plus avant, il en émane une certaine poésie. Elle laisse apparaître une réflexion sur le temps, la pollution, l’érosion, le silence.

L’artiste a une fascination pour les friches industrielles, les bâtiments désaffectés, abandonnés de tout être humain, les contenants rouillés, les (ses) objets usuels : seaux ou bidons, maculés de peinture. Il emprunte à Cézanne et à Morandi les zones dures de couleur et la monumentalité des formes. Il a cette capacité d’observation, comme si l’acte de regarder était un acte d’appropriation, une manière d’extraire une certaine force d’un sujet apparemment vulnérable.

Sans dessin préalable, par le biais de l’intervention sur la matière, un lent travail de maturation mis en œuvre par la peinture qu’il travaille par reprises successives, le tableau prend forme progressivement. La peinture donne corps à la peinture ; le sujet n’est qu’un prétexte à ouvrir l’espace. Le contraste entre ombre, lumière et couleur fait émerger les volumes. Selon l’angle de vue, les formes deviennent des taches, des abstractions reconnaissables puis retournent à la matière. La matérialité de sa peinture l’emporte toujours sur la question de la figuration. L’œuvre de Manuel Ruiz Vida suscite un monde mystérieux, énigmatique. 

                                                                                                                                                                                                 Lina Mistretta. L’œil n° 691 pour l’exposition à Campredon Centre d’art, juin 2016.

Article dans L'oeil n°691, juin 2016.

Article dans L'oeil n°691, juin 2016.

Manuel Ruiz Vida sait prendre ses distances avec la surface des choses, des êtres, et de la peinture. Il évide comme personne. L’émotion, si prisée d’ordinaire, s’est écartée pour laisser place entière à la peinture. Les lieux sont indéfinis, ou presque…Ils sont débarrassés de tout, sauf de l’essentiel, empli d’absence et de peinture. On ne peut être plus peintre que lui, qui en met des couches et des couches, puis les absorbe au profond, jusqu’à faire vibrer la surface. Il part des lieux évidés, ou des objets infiniment creux, pour mieux les ensevelir dans la peinture. Il part des images du dehors pour les faire disparaître. Il pétrifie l’étendue. Chromatique resserrée comme un étau. Au fond, Manuel Ruiz Vida remplace les apparences du monde par la peau sensible et lisse de son unifiante peinture. Comme le sang, la violence chromatique s’est retirée. Il ne garde que la trame immobile et silencieuse du visible. Sidérante présence d’une peinture dépouillée et décantée à l’extrême.

Les objets sont de la même texture et de la même chromatique que l’étendue qui les englobe comme un linceul d’univers. L’implacable objet s’est emparé de l’entour. Art d’arrêt et d’immobilité. Comme une fin du monde anticipée, intemporelle et fatale, où les objets peints, en absolue frontalité, seraient les seuls survivants. L’énigme de l’art étreint l’énigme de l’existence. Et, retenue dans ses profondeurs, la peinture vibre dans les effacements du monde.

Christian Noorbergen. Aralya n° 71 média interactif, pour l’exposition à Campredon centre d’art, mai 2016.

Article dans le média interactif Aralya n°71, mai 2016.

Article dans le média interactif Aralya n°71, mai 2016.

Article dans le média interactif Aralya n°71, mai 2016.

Article dans le média interactif Aralya n°71, mai 2016.

Article dans la revue Miroir de l'art n°73, avril 2016 pour l'exposition à Campredon centre d'art.
Article dans la revue Miroir de l'art n°73, avril 2016 pour l'exposition à Campredon centre d'art.
Article dans la revue Miroir de l'art n°73, avril 2016 pour l'exposition à Campredon centre d'art.
Article dans la revue Miroir de l'art n°73, avril 2016 pour l'exposition à Campredon centre d'art.

Article dans la revue Miroir de l'art n°73, avril 2016 pour l'exposition à Campredon centre d'art.

Un pied toujours dans ses terres natales du nord de la France, un autre en Espagne, dont sa famille est originaire, le peintre Manuel Ruiz Vida exprime dans son oeuvre toute la richesse de ses racines. Le Centre d'art Campredon propose un focus sur ses créations mi-abstraites, mi-figuratives sur son travail très abouti de la matière, de la couleur et de la lumière, 80 oeuvres créées par l'artiste depuis la fin des années 90 sont à découvrir, peintures et dessins conçus dans le cadre de grandes séries thématiques (Hangars, Sculptures, Récipients...) ainsi qu'une peinture monumentale inédite de la chapelle isloise des Pénitents bleus.

                                     Article dans le magazine Objectif Méditerrannée, mai-juin 2016.

 

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Salade aux algues, 2016 huile et laque sur toile 24 x 30 cm

Salade aux algues, 2016 huile et laque sur toile 24 x 30 cm

Sculpture n° 19, 2016 huile, laque et poussière sur toile 100 x 150 cm

Sculpture n° 19, 2016 huile, laque et poussière sur toile 100 x 150 cm

Palissade, 2015-2016 huile et laque sur toile 160 x 215 cm

Palissade, 2015-2016 huile et laque sur toile 160 x 215 cm

Palissade n° 27, 2016 huile et laque sur toile 160 x 215 cm

Palissade n° 27, 2016 huile et laque sur toile 160 x 215 cm

Palissade n°3, 2015-2016 huile et laque sur toile 89 x 130 cm

Palissade n°3, 2015-2016 huile et laque sur toile 89 x 130 cm

Palissade n° 2, 2015- 2016 huile et laque sur toile 97 x 146 cm

Palissade n° 2, 2015- 2016 huile et laque sur toile 97 x 146 cm

Palissade n°63, 2016 huile et poussière sur bois 43 x 35, 5 cm

Palissade n°63, 2016 huile et poussière sur bois 43 x 35, 5 cm

Passage, 2016 huile et laque sur toile 30 x 24 cm

Passage, 2016 huile et laque sur toile 30 x 24 cm

Passage 2016, huile et laque sur papier 19,5 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 19,5 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 19, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 19, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16, 3 x 15 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16 x 12 cm encadré

Passage 2016, huile et laque sur papier 16 x 12 cm encadré

Sans titre, 2015 huile, laque et crayon sur papier 13 x 13 cm encadré.

Sans titre, 2015 huile, laque et crayon sur papier 13 x 13 cm encadré.

Palissade n° 25, 2015 huile et laque sur linoléum marouflé sur bois 23 x 23 cm

Palissade n° 25, 2015 huile et laque sur linoléum marouflé sur bois 23 x 23 cm

Récipient bleu - violet minéral, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Récipient bleu - violet minéral, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Sombra y luz, 2014 huile et laque sur toile marouflée sur bois 120 x 210 cm

Sombra y luz, 2014 huile et laque sur toile marouflée sur bois 120 x 210 cm

D’origine espagnole, Manuel Ruiz Vida est né à Valenciennes... Son oeuvre naissante, d’abord influencée par l’art ibérique, ocre et brun, dominée par les ombres goudronneuses, a trouvé il y a deux ans sa véritable voie. Il peint maintenant ce qui l’entoure, ses paysages familiers, les entrepôts du port de Dunkerque, les cuves rouillées, les friches industrielles, les engins de chantier ou les seaux et les bidons maculés de taches qu’il utilise dans son atelier. Manuel Ruiz Vida peint le temps qui passe et les traces qu’il laisse sur les choses. Mais ce n’est pas n’importe quel temps. La rouille, l’usure, le vieillissement renvoient à la sueur, au sang, à la fraternité d’un monde ouvrier dont les heures sont comptées-mais aussi aux transparences, aux recouvrements, aux grattages, aux coulures de la peinture. Manuel Ruiz Vida peint ce qui disparaît, comme s’il fallait qu’il en soit la mémoire, parce qu’il aime voir la lumière blanche du nord caresser les objets les plus ordinaires, parce qu’ il aime cette poésie-là, à la fois tendre et rude, simplement offerte à tous mais si difficile à restituer sans en affaiblir la sourde délicatesse.

Olivier Cena, critique d'art / Télérama 2005 (extraits)

Récipient vert zinc, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Récipient vert zinc, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Récipient rouge orangé, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Récipient rouge orangé, 2015 huile, laque et pigment sur toile 110 x 150 cm

Sans titre, 2014 huile et laque sur radiographie 36 x 36 cm

Sans titre, 2014 huile et laque sur radiographie 36 x 36 cm

Reliefs, 2014 huile et laque sur radiographie 35,5 x 42 cm

Reliefs, 2014 huile et laque sur radiographie 35,5 x 42 cm

Palissade n° 6 dyptique, 2015 huile, laque et pigment sur toile 46 x 38  cm (2) ou 46 x 78 cm
Palissade n° 6 dyptique, 2015 huile, laque et pigment sur toile 46 x 38  cm (2) ou 46 x 78 cm

Palissade n° 6 dyptique, 2015 huile, laque et pigment sur toile 46 x 38 cm (2) ou 46 x 78 cm

Palissade n° 7, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 7, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 14, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 14, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 16, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 16, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 20, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissade n° 20, 2015 huile, laque et bois sur toile, 40 x 40 cm collection particulière, Lyon

Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),
Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),

Palissades, 2015 huile, laque et bois sur toile 40 x 40 cm (14),

Palissade n° 5, 2015 huile, laque et pigment sur carton marouflé sur bois 42 x 42 cm

Palissade n° 5, 2015 huile, laque et pigment sur carton marouflé sur bois 42 x 42 cm

Chapelle des pénitents bleus- L'Isle-sur-La-Sorgue, 2016 huile, laque et poussière sur toile 226 x 160 cm

Chapelle des pénitents bleus- L'Isle-sur-La-Sorgue, 2016 huile, laque et poussière sur toile 226 x 160 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10,5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10,5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Lueurs, 2014 huile et encre sur papier 10, 5 x 10, 5 cm

Le précipice, 2015 huile, laque et poussière sur carton marouflé sur bois 54 x 54 cm

Le précipice, 2015 huile, laque et poussière sur carton marouflé sur bois 54 x 54 cm

Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)
Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile,  40 x 30 cm (14)

Passages, 2014-2015 huile, laque et pigment sur toile, 40 x 30 cm (14)

Passage, 2014 huile, laque et pigment sur carton, 43 x 34 cm

Passage, 2014 huile, laque et pigment sur carton, 43 x 34 cm

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